Devenons tous acteurs de la lutte contre la pédocriminalité

Vous souhaitez participer à cette plateforme de lutte contre la pédocriminalité ? De la part des enfants : merci.

Ce qui suit est pour vous, pour entrer dans ce thème général et dans la démarche.

1. Le contexte général de notre société, où en est-on ?

Notre société rejette aujourd’hui massivement la pédocriminalité, les agressions et les viols d’enfants. Les tentatives de banalisation de la pédophilie des années 70-80 ont finalement échoué dans la réprobation générale. Pour autant, les disparitions d’enfants continuent, la pédopornographie est en plein essor et les agressions d’enfants restent très nombreuses en France et beaucoup d’enfants sont en danger potentiel.

La police, la justice et les institutions jouent leur partition mais le mal est insidieux, sournois, souvent caché et entouré de silence. La pédocriminalité est largement méconnue du grand public et, de ce fait, les prédateurs agissent facilement. C’est un fléau de société qui requiert une accentuation de la vigilance autour des enfants par le développement massif de la prévention : savoir pour protéger.

2.Dans ce but, la plateforme JONAS s’organise selon deux axes

  • Axe 1 : Une plateforme collaborative produisant des données sur la pédocriminalité :
      • Des contributeurs produisant des articles
      • Un comité scientifique qui valide avant mise en ligne.
      • Une zone « commentaires » permettant l’échange entre contributeur et visiteurs du site pour d’éventuelles évolutions de l’article sous la conduite du contributeur.
  • Axe 2 : Une production d’outils de prévention
      • vidéos pour les enfants
      • vidéos pour les éducateurs et les lieux d’éducation
      • Conférences, formation, interviews.

3.Quelques éléments pour les articles

Nous nous inspirons de « journalisme d’investigation » et non du « journalisme d’opinion ». Nos maîtres-mots sont : travail – recherche approfondie – rigueur, recoupements.

Si nous souhaitons devenir un centre de ressources reconnu, tout ce que nous mettons en ligne doit être exact, pesé, étayé et ne pas contenir d’opinions personnelles.

4. La méthode-clé pour travailler sur un sujet :

  • Rassembler tout ce qui est disponible sur le sujet : internet, ouvrages, articles, publications, reportage…
  • Tout lire et tout analyser.
  • S’imprégner du sujet.
  • Se construire une « conviction personnelle ».
  • Conserver toutes les sources, si possible sous forme numérique.
  • Rédiger un article sous format « presse écrite » – voir ci-après

5. Format « presse écrite » d’un article :

  • D’abord un titre court, efficace, qui donne envie de lire la suite.
  • Le titre peut être une information
  • Il peut être frappant en cherchant à surprendre
  • Ensuite un surtitre ou un sous-titre complétant le titre :
  • Surtitre : où ? Quand ?
  • Sous-titre : comment ? Pourquoi ?
  • Puis le chapeau qui résume l’essentiel de l’information.

Il doit répondre aux 5 questions essentielles en quelques mots :

  1. De qui parle-t-on ?
  2. De quoi parle-t-on ?
  3. A quelle date, quelle époque ?
  4. Quels lieux ?
  5. Quelles causes ?
  • Le corps de texte :
  • Une introduction pour retenir l’attention du lecteur.
  • Le développement : Qui ? Quoi ? Date ? Lieu? Cause? …
  • Donner rapidement et avec clarté l’essentiel de l’information.
  • D’abord les informations les plus importantes puis des informations moindres.
  • Des intertitres permettent d’aérer l’article quand celui-ci est trop long.
  • Conclusion courte qui peut adopter un ton particulier.
  • Une photo ? : Illustration qui complète l’article, accompagnée d’une légende.
  • Notes et références : (en) Cristian Calude, Information and Randomness: An Algorithmic Perspective, Springer, 1994, p. 181.
  • Pour aller plus loin…